En Birmanie, des tongs se frottent aux pluies de mousson, l’une termine sa vie abandonnée sur un sentier, certaines ressuscitent grâce à l’intervention d’un soigneur installé dans une rue de Rangoon, d’autres sont numérotées pour que chaque résident d’un monastère installé au milieu du lac Inlé retrouve la paire de claquettes qui lui appartient…
Chaussure universelle, originaire d’Égypte (voir l’article Tong story), portée du Brésil au continent africain, en passant par la Chine, l’Inde ou le Japon, elle est, sous nos latitudes, la star des vacances. Avec juste une semelle et un « entre-doigts » – une bride en Y séparant deux orteils.
Simple semelle de papyrus tressée retenue par des lanières de cuir chez les Égyptiens, elle a également été taillée ailleurs dans du bois, du caoutchouc, avant d’être fabriquée en plastique et d’être diffusée dans le monde entier.
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La tong prend son pied au Japon